segunda-feira, maio 14, 2007 |
Gentlemen, a woman is on deck. |
E pronto, neste fim-de-semana feminino em que os católicos celebram a Senhora e os protestantes erguem bandeiras maternais do dia da Mãe - assumindo-se por defeito que todas as mães são santas e podendo assim ortodoxamente libertar necessidades de exaltação da deusa - se apresenta a voz feminina do Trento. Protestante, mulher, cristã de raiz baptista enxertada no presbiterianismo liberal, pastora-estagiária, alfacinha em diáspora. nini castanheira |
posted by @ 12:54 da manhã |
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16 Comments: |
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1. En montant aujourd'hui dans les cieux, la glorieuse Vierge a certainement porté à son comble la joie des citoyens du ciel. Car elle n'est, rien moins que celle dont la voix fit tressaillir de joie, dans-les entrailles d'une, mère. qu'elle a saluée, l'enfant qui. y était encore enfermé. Si l'âme d'un enfant qui n'était pas encore né, s'est fondue de bonheur é sa voix, quelle ne dut pas être l’allégresse des esprits célestes quand . ils eurent le bonheur d'entendre sa voix, de contempler son visage ? Et même pour nous, mes frères bien-aimés, quelle fête n'est point le jour de son Assomption, quels motifs de joie et de bonheur n'y a-t-il point dans son assomption ? La présence de Marie éclaire le monde entier, c'est. au point que les cieux eux-mêmes brillent d'un plus vif éclat, à la lumière de cette lampe virginale. C'est donc avec raison que , les actions de grâce et les chants de gloire retentissent dans les cieux; mais nous, mes frères, il semble que nous avons plus de motifs de gémir que d'applaudir. En. effet, ce monde inférieur ne doit-il pas proportionner son deuil, quand elle le quitte, à l'allégresse même que sa présence répand dans les cieux ? Pourtant, trêve de plaintes chez nous, car, après tout, nous . n'avons point ici une cité permanente, noua aspirons, à celle où Marie fait aujourd' hui son entrée; si nous devons un jour en être citoyens, il est juste que, même dans notre exil, et jusque sur les bords des fleuves de Babylone, nous l'ayons présente à la pensée, nous participions à ses joies, nous partagions son allégresse, surtout à celle qui remplit si bien aujourd'hui même, comme un torrent, cette cité de Dieu, que, même ici-bas, nous en recevons quelques gouttes qui tombent jusque sur la terre. Notre Reine nous a précédés, et le glorieux accueil qui lui est fait doit nous engager à suivre Notre Dame, nous ses humbles serviteurs, en nous écriant : « Attirez-nous à votre suite, nous courrons dans l'odeur de vos parfums. » Notre exil a envoyé en avant une avocate qui, en sa qualité de mère de notre Juge, de mère de la miséricorde, doit traiter en suppliante, mais en suppliante écoutée, l'affaire de notre salut.
aqui
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Finalmente. Muito bem-vinda.
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E mais S.Bernardo:
Pourquoi désirer autre chose, mes frères ? Cherchons la grâce, et cherchons-la avec l'aide de Marie, car elle trouve ce qu'elle cherche, et ne revient pas bredouille. Mais cherchons la grâce auprès de Dieu, non pas cette grâce illusoire que dispensent les hommes. Que d'autres veuillent s'acquérir des mérites ; nous nous emploierons à obtenir la grâce. Et n'est-ce point une grâce que nous soyons ici ? Oui, car sans la miséricorde du Seigneur, nous aurions été anéantis. Qui, nous ? Nous les parjures, les adultères, les homicides, les voleurs, nous les excréments de ce monde ! Interrogez vos consciences, mes frères, et avouez que là où abonda le péché, la grâce surabonde (Rm,5,20).
Marie n'allègue point son mérite, elle demande la grâce. Elle compte si bien sur la grâce, et elle est si peu orgueilleuse, qu'en entendant la salutation de l'ange, elle est prise de crainte. "Marie, dit l'Evangile, se demandait ce que signifiait cette salutation". C'est qu'elle s'estimait très indigne d'être saluée par un ange. Elle se disait sans doute : " Comment se fait-il qu'un ange du Seigneur vienne me trouver ? " Ne crains rien, Marie, ne t'étonne pas qu'un ange vienne : un autre viendra, plus grand que l'ange. Ne sois pas surprise de voir l'ange du Seigneur. Et puis, pourquoi ne verrais-tu pas un ange, toi qui mènes déjà une vie angélique ? Pourquoi ne saluerait-il pas la concitoyenne des saints et la servante de Dieu ? La virginité est une vie angélique, car ceux qui ne prennent ni mari ni femme sont comme des anges de Dieu (Mt,22,30)
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Mais uma vez, as minhas congratulações por esta tão aguardada "aparição"...
(A Zazie Passou-se com as leituras do S. Bernardo... eh eh eh)
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Podes crer que me passei.
Tu conheces algo mais belo do que o que o S. Bernardo escreveu acerca da Virgem?
É que eu não conheço e passo-me literalmente com este iconoclasta.
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E esquecia-me de dar as boas vindas à nini
Bem-vinda a este estaminé de gajos de barba rija
";O)
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É lindíssimo. Tive de intercalar um post no Cocanha. Ficou um tanto herético: entre um judeu selvagem e a Brigitte Bardot
":O))))
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Bem-vinda. Dois pormenores. Cá pelos meus lados diz-se Dia das Mães, precisamente para evitar confusões. "Cristã de raiz baptista enxertada no presbiterianismo liberal". Escaspaste ao baptismo infantil portanto ;).
Pedro Leal
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Bem vinda Nini. Belo dia para apareceres. Não sei o que tem Maria, onde ela aparece temos uma presença clamorosa do Espirito Santo :)
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sim sou totalmente baptizada, lembro-me da água gelada de Abril. (na 1ª Baptista não havia essas mariquices de águas aquecidas).
Nós estamos tão felizes com o secularismo intrínseco do judaismo e do cristianismo que por vezes nos esquecemos das ancestrais forças da religiosidade mágica. Maria traz a emoção e a mágica das velhas crenças quase genéticas em nós.
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A Nini é da 1ª Baptista de Lisboa ?
Os meus avo´s tb se converteram nessa igreja pelo testemunho de dois GIGANTES DA FÉ EVENGELICA ( sim dois santos do sec. xx ) o Dr António Maurício e o irmão Paulo Torres ( q embora tb dr quase nunca usava o titulo académico )
Estes sim são referencias da fé CRISTÃ BÍBLICA
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Errata: qd acima disse é, obvianente queria dizer foi.
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Em nome dos que estão de fora, por vezes a pensar com os seus botões "às vezes deve fazer menos frio lá dentro", seja muito bem-vinda!
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A minha mãe e o meu pai converteram-se na 1ª e deslocaram-se depois avenida Almirante Reis abaixo até à Igreja de Febo Moniz. Eu cresci entre as duas influências, mas escolhia sempre a 1ª, até que chegou a hora de eu migrar também avenida abaixo.
Guardo da 1ª muitas memórias felizes e especialmente guardo alguns amigos fiéis.
P.S. À Igreja Presbiteriana de Febo Moniz, foi também parar o filho do António Maurício, Paulo Maurício.
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1. En montant aujourd'hui dans les cieux, la glorieuse Vierge a certainement porté à son comble la joie des citoyens du ciel. Car elle n'est, rien moins que celle dont la voix fit tressaillir de joie, dans-les entrailles d'une, mère. qu'elle a saluée, l'enfant qui. y était encore enfermé. Si l'âme d'un enfant qui n'était pas encore né, s'est fondue de bonheur é sa voix, quelle ne dut pas être l’allégresse des esprits célestes quand . ils eurent le bonheur d'entendre sa voix, de contempler son visage ? Et même pour nous, mes frères bien-aimés, quelle fête n'est point le jour de son Assomption, quels motifs de joie et de bonheur n'y a-t-il point dans son assomption ? La présence de Marie éclaire le monde entier, c'est. au point que les cieux eux-mêmes brillent d'un plus vif éclat, à la lumière de cette lampe virginale. C'est donc avec raison que , les actions de grâce et les chants de gloire retentissent dans les cieux; mais nous, mes frères, il semble que nous avons plus de motifs de gémir que d'applaudir. En. effet, ce monde inférieur ne doit-il pas proportionner son deuil, quand elle le quitte, à l'allégresse même que sa présence répand dans les cieux ? Pourtant, trêve de plaintes chez nous, car, après tout, nous . n'avons point ici une cité permanente, noua aspirons, à celle où Marie fait aujourd' hui son entrée; si nous devons un jour en être citoyens, il est juste que, même dans notre exil, et jusque sur les bords des fleuves de Babylone, nous l'ayons présente à la pensée, nous participions à ses joies, nous partagions son allégresse, surtout à celle qui remplit si bien aujourd'hui même, comme un torrent, cette cité de Dieu, que, même ici-bas, nous en recevons quelques gouttes qui tombent jusque sur la terre. Notre Reine nous a précédés, et le glorieux accueil qui lui est fait doit nous engager à suivre Notre Dame, nous ses humbles serviteurs, en nous écriant : « Attirez-nous à votre suite, nous courrons dans l'odeur de vos parfums. » Notre exil a envoyé en avant une avocate qui, en sa qualité de mère de notre Juge, de mère de la miséricorde, doit traiter en suppliante, mais en suppliante écoutée, l'affaire de notre salut.
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